Le domaine du Vivier à Cour-Cheverny, une longue histoire...

Longue histoire, certes…, et difficile à retra­cer. Nos recherches, et les documents déjà publiés à ce sujet, sont loin de reconstituer toute l’historique de ce domaine qui est sans doute l’un des plus anciens de la commune de Cour-Cheverny. Il nous a cependant paru utile de publier ci-dessous ce que nous en savons, même si cela est incomplet…

Le domaine du Vivier à Cour-Cheverny
Les temps très anciens
Dans deux ouvrages très documentés (1), Jean-Paul Sauvage et Bruno Guignard nous donnent de précieuses indications sur ce do­maine proche du Beuvron.
Est tout d’abord évoquée la présence d’un « manoir médiéval » implanté au lieu-dit le Vivier. On peut penser qu’un fortin avait été implanté là dans des temps très anciens (de nombreuses monnaies gauloises y ont été retrouvées) (2) pour surveiller le gué sur le Beu­vron. Aux XIVe et XVe siècles (les deux tou­relles aux extrémités, qui gardent encore des archères (3) à arbalètes, prouvent l’ancienneté de la construction), un petit seigneur construit sur une terrasse fossoyée deux tours carrées encadrant un bâtiment plus bas. Résidence du seigneur, cette construction a été modifiée au cours des siècles : aux XVIIe et XVIIIe siècles d’abord, puis restaurée au XIXe siècle et aug­mentée de lucarnes au XXe siècle. À l’est, une cour de communs a conservé dans une de ses dépendances une cheminée gothique à doubles corbeaux.
Une famille s’enracine aux XVIe et XVIIe siècles dans ce lieu : les Rossignol. Pierre 1er, valet de chambre ordinaire du roi, puis, de 1598 à 1621, son fils Pierre II, commissaire ordinaire des guerres, en Bretagne, gentilhomme ordi­naire du duc de Vendôme : en 1619, on dit qu’il habite au Vivier avec sa femme, Angélique Alexandre. Son fils, Pierre III, commissaire ordinaire des guerres, n’a pas d’héritier, et c’est son frère Claude, capitaine d’une compagnie au régiment de Menille, qui devient seigneur du Vivier. Au début du XVIIIe siècle, Jean Ber­nier, auteur d’une « Histoire de Blois », écrit : « N. Rossignol, sieur du Vivier, un des plus agréables hommes de son temps, a parfaite­ment bien fait des vers français… ».
Le domaine du Vivier à Cour-Cheverny

Au XVIIIe siècle
À la fin du XVIIIe siècle, les dames Cour­tin, Madeleine Jeanne Alexandrine et Marie Bonne (épouse de Louis Thimothée Mahy de Pontchardon), qui résident à deux pas de là, au manoir de Clénord, deviennent proprié­taires du Vivier.
C’est ensuite le grand historien vendômois, Jules de Pétigny (4) qui acquiert la propriété du Vivier en 1849. Il était devenu auparavant pro­priétaire du domaine de Clénord. La propriété restera de longues années dans la famille de Pétigny, puis dans une autre branche de cette famille, celle des Thierry de Ville d’Avray jusqu’au début du siècle dernier.

Plus récemment…
Au XXe siècle, Jean-François Deniau (1928- 2007) devient propriétaire du domaine : am­bassadeur, plusieurs fois secrétaire d’État, ministre du Commerce extérieur, puis de la ré­forme administrative, rédacteur du préambule du Traité de Rome, président du Conseil géné­ral du Cher en 1981, journaliste, auteur de 27 ouvrages, académicien en 1992. Il a égale­ment traversé l’Atlantique en solitaire à 67 ans et reçu le Grand prix de la mer en 2004.
Notons également que le vignoble du domaine est actuellement exploité par Michel Gendrier, viticulteur au domaine des Huards à Cour- Cheverny.

Le domaine du Vivier à Cour-Cheverny
La configuration du domaine
Dans un document du CDPA (5), Alain Picou­leau a publié un extrait de jugement de 1873 pour une donation-partage au sein de la famille de Pétigny, qui nous donne une des­cription précise du domaine, dont nous avons retenu les principaux éléments.
« Le domaine consiste en un bâtiment de maître et de fermier avec terre, prés et pâture, le tout sur 30 ha 12 a 51 ca. Le bâtiment de maître se compose d’un vestibule, salon, salle à manger, cuisine et chambre à coucher au rez-de-chaussée, greniers au-dessus. Les communs comprennent : granges, cellier, greniers au-dessus, pigeonnier et un petit bâtiment servant au logement du jardinier, cour au milieu, une allée allant du bâtiment au chemin de Cellettes à Tour-en-Sologne. Les bâtiments servant à l’habitation du fermier et à l’exploitation des dépendances consistent en 2 chambres, écurie, grange, toit à porcs, deux étables, autre étable de l’autre côté de la cour, avenue donnant sur le chemin de Char­lemagne ». Un plan (5) reconstitué à partir d’un document d’époque nous donne la configura­tion du domaine à cette époque et du cours du Beuvron, bien différent de celui d’aujourd’hui…

Les archives de la famille de Pétigny
Mises à notre disposition par Patrick Ver­det, un de ses membres, elles nous donnent quelques informations complémentaires sur la vie dans ce lieu…
Le domaine du Vivier à Cour-Cheverny
Dans les années 1860, la maison fut louée, notamment à une famille anglaise du nom de Halcott, et sans doute au peintre et romancier français Gustave Droz (6) sans que cela puisse être confirmé. Dans une lettre datée d’octobre 1862 et adressée au propriétaire, celui-ci in­dique : « Je viens vous prier de me considérer comme votre locataire pour l’année prochaine. Je n’ose m’engager pour plus d’une année avant d’avoir essayé la vie à la campagne qui est toute nouvelle pour moi. La location comprendrait donc comme nous en sommes convenus la maison et ses dépendances, plus ce qu’il me faut de terrain pour faciliter l’accès à la rivière ».

Le domaine du Vivier à Cour-Cheverny
La vie de château au XIXe siècle
Quelques écrits (lettres et cahier de notes) nous décrivent l’atmosphère du lieu à cette époque.
En 1868, Constance de Brunier (1813-1893), la veuve de Jules de Pétigny, vint habiter le Vivier avec sa fille Julie (1854-1935), alors âgée de 14 ans. Dans ses souvenirs, Xavier de Pétigny, neveu de Julie, décrit la vie de sa famille dans ce lieu : « Le Vivier, situé en face de Clénor (7), sur la rive gauche du Beuvron, était aménagé en maison bourgeoise, avec une basse-cour et une ferme. L’habitation, séparée de la ferme par un mur, se composait d’un simple rez-de-chaussée dont toutes les pièces étaient carrelées. La disposition en était très pratique et permettait d’y vivre à peu de frais. Un excellent jardin potager, auquel on descendait directement par le perron de la cuisine ; l’étable et la basse-cour toutes proches ; une vigne qui four­nissait un très bon vin blanc ; rien n’y manquait de ce qui constituait pour nos pères l’habitation de famille. Un ancien donjon en forme de grosse tour carrée servait de pigeonnier et abritait des cen­taines de pigeons ; deux autres tours rondes, plus petites, dont l’une servait de laiterie et l’autre de four à pain, témoignaient que cette demeure avait toujours été habitée. Je me rappelle le déména­gement de ma grand’mère et son installation au Vivier. Un tapis, posé par un tapissier pour recou­vrir le carrelage du salon, faisait mon admiration. Grâce à la protection de bandes de toile verte tendues d’une partie à l’autre, devant la cheminée et la fenêtre, partout enfin où l’on pouvait poser le pied, ce tapis a duré plus de vingt ans ».

« On pénétrait dans la maison par un perron de pierre à deux marches et une porte vitrée qu’on protégeait la nuit par d’épais contrevents peints en blanc. Cette porte ouvrait sur un vestibule carrelé qui desservait la maison, et comme ce vestibule ne recevait d’autre jour que celui de la porte, la partie reculée était si obscure qu’on y marchait à tâtons. Immédiatement à gauche était la chambre de ma tante Julie, éclairée par une grande fenêtre au midi ; puis deux autres plus petites, et au fond une immense chambre carrelée et glaciale, avec fenêtres au nord et à l’est. Dans cette chambre qu’on appelait « la Beauce », il y avait quatre lits qu’on pouvait isoler à l’aide de paravents, et qu’on réchauffait avec des bassinoires et des cruchons d’eau bouillante quand on y installait une famille. Pour recouvrir les petits carreaux peints ou vernis terre de sienne, ma grand’mère avait taillé, aux dimensions vou­lues, dans un superbe tapis d’Orient, cadeau du cousin Saint-Sauveur et rapporté par lui d’un de ses consulats de Turquie. Ce tapis, qui avait couvert tout le grand salon de Clénor, aurait au­jourd’hui une vraie valeur ; il n’en est resté que des débris ».
« À l’entrée du vestibule, à main droite, était la porte du salon, symétrique de la chambre de ma tante Julie. Une belle fenêtre au midi, une bonne cheminée avec une plaque de fonte dans le fond, et une boiserie sculptée au-des­sus de la tablette, suffisaient à l’orner. Au milieu, était une table ronde, recouverte d’un tapis et de piles de livres, dont la Bible de Royaumont et un Télémaque (8)
Le domaine du Vivier à Cour-Cheverny
illustré ; dans un coin, une autre table ronde ornée d’un beau vase en faïence d’Ulysse ; le long des murs une table à jeu, un canapé, des fauteuils et des chaises recouverts en cretonne ; dans la fenêtre, où l’épaisseur du mur ménageait deux belles places, il y avait une table à ouvrage et une chaise basse où travaillait ma tante. L’horizon, par cette fenêtre, n’allait pas au-delà d’une cour sablée, prolongée par un champ cultivé, bordé d’une haie qui arrêtait la vue. Ma tante avait son piano en face de la cheminée et elle donnait des leçons à mon frère ; quant à moi, on avait décrété que je n’étais pas musicien. Ma grand’mère se tenait dans un fauteuil Voltaire, recouvert en velours rouge, et placé dans l’angle le plus obscur de la pièce ; en hi­ver, elle prenait place au coin du feu, dans une bergère, le dos tourné au jour de la fenêtre, et toujours pour ménager ses yeux, l’abat-jour de la lampe était tenu si bas que le salon restait dans une demi-obscurité ».

« Du salon, on passait directement et de plain-pied, par une petite porte, dans la salle à manger qui communiquait elle-même avec la cuisine située deux ou trois marches en contre-bas. Cette salle à manger carrelée en petits carreaux rouges, avait, comme le salon, une fenêtre au midi. Un coffre, dans l’épais­seur du mur, formait comme une banquette jusqu’à hauteur d’appui. Nous aimions y grim­per et nous y asseoir pour jeter des miettes de pain aux volailles et aux canards qui venaient de la basse-cour aux heures des repas. Il n’y avait, dans la pièce, que la table entourée de chaises à siège de paille, un buffet à des­sus de marbre et de petits paillassons ronds devant chaque chaise. Aux murs, tapissés de papier chocolat à ramages, pas une gravure, ni une faïence. Il n’y avait qu’un coucou
(9) qui faisait notre joie ; il avait appartenu à mon oncle Raoul (10). Dans cette salle à manger si mo­deste, ma grand’mère aimait donner des repas 
Le domaine du Vivier à Cour-Cheverny
à l’ancienne mode. Elle eut longtemps, comme cuisinière, une bonne femme qui s’appelait « la mère Victoire », et qui était un cordon-bleu de premier ordre. Tout se préparait au feu de bois, ou au four. Le menu comportait toujours le potage, une ou deux entrées, un rôti, des légumes, des crèmes et pâtisseries et enfin, suivant la saison, des compotes ou des fruits frais ; du bon vin récolté au Vivier, et de l’eau d’une fraîcheur remarquable. On renvoyait impitoyablement à la pompe les carafes qui ne perlaient pas de fraîcheur. En somme, tout était simple, mais de tout premier choix, ce qui est le contraire du luxe actuel. Ma grand’mère découpait elle-même les plats qu’on posait devant elle, et servait à la ronde. Un gamin de douze à quinze ans qui, dans la journée, travaillait avec le jardinier, aidait au service et était vertement repris quand il commettait un impair. Ces algarades me faisaient trembler pour lui. Il était de fondation pour mes parents (qui habitaient au manoir de Clénor) de venir dîner au Vivier chaque dimanche ; on s’y ren­dait et on revenait à pied, avec une lanterne par les nuits trop sombres. Le dîner était à six heures. En été, on s’asseyait dehors avant et après le repas ; en hiver la soirée s’achevait en jouant au nain jaune, autour de la table ronde du salon. Ces dîners et les retours de nuit sont un des souvenirs de mon enfance, et j’en res­sens encore l’émotion (…) »
.
Le domaine du Vivier à Cour-Cheverny« Au Vivier, comme à Clénor, ma grand’mère avait choisi pour chambre la pièce la plus inconfortable de la maison. On y accédait du salon par une porte dissimulée sous la ten­ture en papier gris. Une fenêtre en plein nord plaçait cette chambre carrelée, sans tapis, sans cheminée. Un lit de bois sans rideaux, une commode, une table cirée, un prie-Dieu, un secrétaire, deux ou trois chaises capiton­nées en crin noir formaient tout le mobilier. La fenêtre n’avait aucun rideau, pas même sur le vitrage. Une seconde porte conduisait sur un palier carrelé, qui servait d’office, et dont tous les murs étaient doublés, du haut en bas, de placards où se trouvaient la vaisselle et les provisions de ménage. De ce palier, éclairé par une fenêtre au nord, glacial et sec comme il convient pour toute chambre à provision, on se rendait directement encore dans la salle à manger ou dans la cuisine. C’était le quartier-général de la maison. Ma grand’mère y pas­sait des heures à éplucher des petits pois, à retirer les fils des haricots verts et les noyaux des fruits pour les conserves et les compotes. Assise près de la fenêtre, qui ouvrait sur le jardin potager, elle surveillait le jardinier en même temps qu’elle entendait tout ce qui se passait à la cuisine. Même dans ces humbles besognes, un tablier pour protéger sa jupe noire, et toujours sur la tête son bonnet noir à longues brides, elle conservait son grand air. Elle recevait sans interrompre son travail, et ne passait au salon que pour les vraies visites ; j’aimais l’aider à éplucher ses légumes et ses fruits, et pendant ce travail, elle me faisait ap­prendre et réciter des fables de La Fontaine. Tel est le cadre monastique où ma grand’mère a vécu près de vingt ans. Dans la cellule qui lui servait de chambre, je l’ai vue active, ma­lade, et enfin pour la dernière fois sur son lit de mort. À peine si dans les dernières années de sa vie laborieuse elle s’accorde quelques ménagements. Elle avait entrepris de diriger, au Vivier, la culture d’une vigne, des champs et des prés indispensables pour récolter le blé, les grains et fourrages nécessaires au personnel de la maison et à une basse-cour d’un cheval et de trois à quatre vaches. Le reste de la propriété, dont la contenance to­tale approchait de 30 hectares, était loué en détail par champs et prairies. Malgré son acti­vité qui la tenait debout de 4 heures du matin jusqu’au soir, malgré ses connaissances, son expérience, une stricte économie sur tout ce qui est plaisirs, j’ai su plus tard que la pauvre femme a dû prendre tous les ans deux ou trois mille francs sur son capital pour boucler son budget. Elle s’en est excusée auprès de ses enfants par un mot, écrit de sa main, trouvé dans ses papiers, mais elle cacha toujours cet échec, qui devait empoisonner sa vie, car sa seule prétention était d’être une femme de ménage et une maîtresse de maison accom­plie. Il faut dire aussi que les parents et amis furent la cause d’une partie de ses dépenses. Le Vivier était envahi durant des semaines, par des familles entières. Les Saint-Sauveur, les trois cousines Adèle, Louise et Elisa Duro­cher, et les « envahisseurs les plus fréquents » étaient tous des Brunier. En tête, se plaçaient Georges de Brunier et sa famille, ainsi qu’Alix de Brunier et Henri de Brunier avec sa famille. Leur grande distraction était d’aller en forêt chercher des champignons. Henri de Brunier était un chasseur à tir passionné. On com­prend qu’avec ces visiteurs, et bien d’autres que je passe, la tenue de la maison entraînait de très lourdes dépenses, d’autant plus que la table y était abondante, à quatre repas par jour pour les maîtres et cinq pour le personnel de maison et de culture ».
« En octobre et novembre 1876, Constance de Pétigny fut atteinte d’une grave maladie aux poumons, dont elle se sortira bien. Elle décé­dera le 5 août 1893 à Cour-Cheverny dans sa maison du Vivier, d’une fluxion de poitrine qui l’abattit en quelques jours. Jusqu’au dernier moment, on avait espéré la sauver tant elle était restée forte malgré ses 80 ans. Le Service eut lieu à l’église de Cour-Cheverny et l’inhumation au cimetière, près des tombes de son mari et de son fils Raoul, qu’elle visitait chaque semaine depuis trente et vingt ans. La plupart de nos parents de Brunier et de Saint-Sauveur étaient venus à la cérémonie, et une affluence inaccou­tumée des gens de campagne des paroisses voisines témoigna qu’on conduisait à sa der­nière demeure une personne qui se distinguait du commun ordinaire ».

P. L.

Sources : Merci à la famille de Pétigny dont les archives ont largement contribué à la rédaction de ces pages et à Grégoire Deniau pour les photos qu’il nous a fournies.

(1) « Châteaux, manoirs et logis – Le Loir-et-Cher » - Edi­tions Patrimoine médias - 2019 - page 269 et « Cour-Che­verny et ses environs » – Daniel Bénard et Bruno Gui­gnard – Editions Alan Sutton – 2011 – page 73.
(2) « Les grandes heures de Cheverny et Cour-Cheverny en Loir-et-Cher… et nos petites histoires - Éditions Oxy­gène Cheverny -Novembre 2018 - page 15 : Cheverny et Cour-Cheverny à la période antique
(3) Archère : Sorte de meurtrière, de petit orifice dans une muraille, afin de tirer à l’arc ou l’arbalète.
(4) Jules de Pétigny de Saint Romain, membre de l’Institut des Inscriptions et Belles-Lettres (1801-1858) – Voir La Grenouille n°50 – janvier 2021 - Guerre de 1870 : ne les oublions pas…
(5) Patrimoine dans votre commune n°45 – Mont-près- Chambord –CDPA 2012 - Alain Picouleau.
(6) Gustave Antoine Droz (1832-895) est un peintre et romancier français, auteur notamment de « Monsieur, ma­dame et bébé » qui connut un succès phénoménal en Eu­rope et aux États-Unis dans les années 1870 (Wikipédia).
(7) Dans les documents anciens on retrouve les deux orthographes : Clénor et Clénord.
(8) Télémaque : Les Aventures de Télémaque est le titre d’un roman didactique de Fénelon, probablement écrit dans les années 1694 et suivantes, et publié pour la pre­mière fois à l’insu de Fénelon en 1699 (Wikipédia).
(9) Coucou : Une pendule à coucou, ou elliptiquement coucou, est une pendule dont la sonnerie imite le cri du coucou. Le concept d’horloge à coucou aurait été créé par Franz Ketterer en 1738, dans le village de Schönwald, en Forêt-Noire en Allemagne (Wikipédia).
(10) Raoul de Pétigny, fils de Jules, décédé à la guerre de 1870 à l’âge de 23 ans – Voir La Grenouille n°50 – janvier 2021 - Guerre de 1870 : ne les oublions pas… 

La Grenouille n°57 - Octobre 2022


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